Baffrancou à Limousis (11), France
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Je viens de voir que j’ai déjà 7 articles avec le mot « pression » dans le titre. L’absence de pression est à mon avis essentiel pour cheminer vers sa Source. Dans mon article d’hier, j’ai partagé que j’ai besoin de développer encore plus mes aspects féminins. Me nourrir de l’énergie au lieu de manger du solide me permet d’avoir la légèreté, la présence, la réceptivité et la sensibilité pour explorer et tisser physiquement vers l’Amour avec une partenaire… au lieu d’avoir des relations sexuels banales. Les sensations qui me guident sur le chemin de l’exploration à deux sont tellement subtiles que mon féminin a besoin de déployer toutes ses antennes pour capter les balises qui bordent ce chemin initiatique… 🚏
La moindre pression m’empêche d’être totalement là. Elle demande à s’en occuper et à être gérée… et si j’ai besoin de gérer ma pression, je ne peux pas m’occuper des murmures et des signes subtils que la Vie me laisse deviner au fur et à mesure que je tâte mon chemin. Je passerai automatiquement à côté de l’essence-ciel et mon corps cherchera à se contenter des compensations plus grossières comme le sexe ou la pizza. Une fois sorti de la présence, et un toucher qui procure des sensations subtiles, j’ai remarqué qu’il est très difficile, voir impossible, d’y revenir. Dans ce cas, il faut tout recommencer avec ma partenaire une prochaine fois… L’art est de rester dans le subtil… C’est le monde de l’Unité, de l’Amour et de l’Extase… 🧡
Je passe mon temps à sentir, à me sentir et à sonder mon état intérieur. Je cherche à garder en permanence mon équilibre et l’harmonie, quoi que je fasse. Pour y arriver, il est important que je sache refuser, d’oser exprimer mon envie, de connaître les limites de mon territoire, d’oser être authentiquement moi-même, de savoir m’arrêter, ralentir ou de changer d’occupation, et j’en oublie… La société actuelle ne permet pas cela. La productivité demandée exige un rythme soutenu sans pitié… Dans le même fuseau horaire, presque tout le monde le lève, commence à travailler, prend les pauses, rentre à la maison et fait plein d’autres choses en même temps… puis, répète cela jour après jour. Il n’y a pas de place pour écouter de son être… et il logique que le mal se dit à travers la maladie. 🤮
Alors, je prends le temps pour m’occuper de la portière de la voiture. Il n’y a pas question de me mettre de la pression inutile, ni d’en mettre aux autres. J’ai d’abord attendu tranquillement pour voir si l’homme qui m’est rentré dedans allait me recontacter… Ensuite, une fois compris qu’il n’allait pas prendre ses responsabilités, j’ai contacté au milieu de la semaine dernière une première fois des casses-automobiles… Hier seulement, j’ai recommencé à faire un deuxième tour téléphonique et ce matin je suis parti pour chercher deux portes jaunes. Finalement, elles étaient cabossées et la voiture n’était pas le même modèle. Quand le mécanicien a vu « ma » voiture, il a dit « Mais elle est blanche ! »… et quelques instants après « J’ai le même derrière et je pense que la portière est correcte ! ». 🚪
Alors, 10 minutes plus tard j’étais sur le chemin de retour avec une portière blanche, en effet « correcte » pour 50 euros. Maintenant, je vais appeler tranquillement mécano après mécano, jusqu’au moment qu’un d’entre eux veuille bien changer la porte et la serrure. J’ai déjà laissé un message sur le répondeur du premier. De manière cool, tranquille et détendu j’avance dans le processus. Le plus important est la gestion du stress et de choisir systématiquement de respecter le besoin simple de mon corps et de mon être… au lieu de répondre aux attentes des autres. En occurrence, il ne s’agit même pas d’attentes des personnes qui sont là. Ce sont les attentes de ma mère et de mes éducateurs, décédés il y a longtemps déjà, qui ont créé ce réflexe pavlovien de me mettre moi-même la pression dès que je pense qu’une tâche m’incombe. 🥵
J’ai profité du trajet pour faire mes cours à Leclerc, qui était juste à côté de la casse. C’est le magasin qui a les produits qui me correspondent le plus. En plus, je trouve des boissons végétales chocolatées de « Biovillage », qui coûtent près de la moitié des autres boissons comparables. Alors, j’ai vidé le rayon et j’ai maintenant assez à boire pour 6 semaines ! Je suis assez fier de moi, car j’ai pris aussi des pâtes au fromage et des boites de thon à l’huile d’olive, juste au cas où une fringale m’envahit. J’en ai pris assez pour 3 bons repas… mais, je n’ai pas faim pour le moment. Mon défi est de l’avoir dans mon placard, de savoir que c’est là… et de ne pas y toucher ! Pareil pour le chocolat que j’ai acheté. J’ai compris mieux que jamais à quel point il est important pour moi de me nourrir de liquides ou carrément d’énergie si je veux explorer plus loin dans le monde subtil… 💨
Je vous souhaite une merveilleuse journée, soirée ou nuit… sans pression aucune… où que vous soyez… ∞❤️∞