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Michael à Modi’in, Israël 🇮🇱
J’ai beaucoup aimé notre rencontre sur Zoom « Demandez-moi… ». Je me suis senti dans mon élément… Et c’est vrai j’adore ça ! J’adore trouver des solutions aux problèmes… j’adore permettre les gens de comprendre… j’adore être l’initiateur d’un changement… J’adore jouer un rôle dans la réussite des autres… j’adore répondre aux questions et partager tout ce que j’ai découvert au cours de ma vie. Ça peut sembler orgueilleux, mais j’ai cette forte sensation que j’ai la réponse à tout ! Même en l’écrivant ces mots, j’hésite de partager mon ressenti vrai, car même à mes yeux cette affirmation est une peu forte… puisqu’une petite voix moralisatrice me chuchote : « Qui est tu pour prétendre d’avoir toutes les réponses ? »
Nous étions 6, il me semble, et je ne m’attendais pas qu’il allait y avoir quelqu’un. J’avais allumé mon ordinateur, puis Zoom, tout en continuant à regarder une épisode d’un bon feuilleton. D’accord, ce n’étaient pas des gens nouveaux. Je connaissait les participants. Je me suis d’abord dit qu’ils étaient d’ailleurs peut-être juste venu pour que je ne sois pas seul. Quoi qu’il en soit, grâce à la première question posée sur le fonctionnement du miroir, je suis parti au quart de tour. Les questions suivantes sont venues toutes seules et avant que je puisse dire ouf, la séance était terminée. Je sais que j’étais « dedans » puisque vers la fin, je me sentais doucement partir en mode « canal ». C’est une sensation délicieuse quand je me sens en sécurité…
Juste après la séance, j’ai reçu un compte rendu de miroir d’une des personnes que j’accompagne. J’en reçois généralement plusieurs par jour. C’est ma manière de les aider à se former par l’expérience à cette outil époustouflant. Du coup, je prends leurs projections pour moi aussi ! C’est cool, mais aussi évident, puisque nous sommes tous UN. Plein de pièces du puzzle viennent ainsi vers moi sans effort depuis des années. En y ajoutant mes propres constatations ça donnait une image quasiment parfait et clair de ma situation et de mon état. Par reflex je continue à observer mon entourage pour vois où j’en suis, même si le miroir même m’a fait comprendre il y a peu de temps que je peux doucement cesser de le faire.
La personne qui m’avait envoyé son compte rendu maitrise de mieux en mieux le miroir (la projection) et sera à mon avis autonome dans seulement quelques mois, si elle ne lâche pas l’affaire. Son miroir n’était pas tendre, par contre. Je ne me rappelle plus exactement ce qu’elle avait écrit, mais ce qui est resté dans ma tête est la phrase : « Il prend des gens pour des nouilles ! ». Bien évidemment, comme d’habitude, j’ai pris la remarque pour moi et ça ne m’a pas trop plût… puisque même si les gens peuvent avoir cette impression de moi, c’est loin d’être mon intention.
Et, comme par hasard, le soir même je commençais à avoir mal à la gorge. J’avais bu un bouillon trop chaud dans la journée et j’avais brûlé mon gosier en voulant le boire trop rapidement et trop tôt. Depuis des années le mécanisme est le même chez moi. Quand la brûlure est trop forte, ma gorge s’enflamme… et peu de temps après, l’inflammation monte vers le nez et le sinus et provoque une fièvre. Exactement comme si j’avais pris froid dehors. Mais, peu importe le prétexte physique… l’importance c’est de comprendre le message derrière la maladie.
Ok, c’est plus léger que d’habitude et je n’ai pas besoin de rester couché. Dans le passée le processus pouvait durer jusqu’à 2 ou 3 semaines avant que je me sente à nouveau en pleine forme. La dernière fois, il y a 4 ans il me semble, ça n’avait duré qu’une seule nuit. Ça progresse avec le temps… et c’est clairement lié à mon aptitude grandissant de suivre la VIE, mon Enfant Intérieur, Ma divinité… Je n’ai pas été malade depuis très longtemps. Pour moi, ça veut dire que je suis dans mon axe… en tout cas, dans la marge de tolérance que la VIE me donne.
Les moshavim sont des villages couplés avec une « coopérative à fonctions multiples ». Alors qu’une coopérative classique se concentre souvent sur une seule fonction (production de biens, protection sociale, ventes de marchandises à prix réduits, mise à disposition de matériel agricole, etc.), un moshav regroupe toutes ces fonctions au sein d’une petite municipalité de type villageoise. Tout membre du village doit aussi être normalement membre de la coopérative.
Le moshav n’est pas collectiviste, contrairement au kibboutz, où tout est fait en commun : repas, travail, etc. Le moshav organise une vie familiale classique, et une exploitation individuelle des terres agricoles, centrée sur la cellule familiale. Mais il organise aussi une coopération multiforme entre les membres du moshav, en mettant en place de nombreux services collectifs (mise à disposition de matériel agricole, commercialisation de la production du moshav, services sociaux, centres de loisirs, activité culturelles, accès au crédit).
Certaines activités du moshav, mais pas toutes, peuvent être de nature collectiviste, comme une entreprise de commercialisation des productions agricoles. Par définition, il n’est pas possible d’y travailler de façon autonome, alors que cela est possible pour l’exploitation des terres.
Comme pour les kibboutzim, la propriété de la terre est collectivement israélienne : l’État met à la disposition du moshav la terre que ses membres exploitent.
Chacun des membres de la communauté du moshav possède sa propre ferme et ses propriétés. Les travailleurs produisent des céréales et des biens grâce à un partage du travail et des ressources. Le profit bénéficiant ainsi à l’ensemble du groupe.
Les décisions relevant des fermes individuelles sont prises par l’exploitant. Les décisions sur le fonctionnement du village ou des organismes coopératifs qui y sont rattachés sont prises collectivement, de façon démocratique. Il existe plusieurs variantes de fonctionnement. On distingue en particulier les moshavim « classiques » des moshavim shitoufiim. Ces derniers ayant un fonctionnement plus collectif, se rapprochant des kibboutzim.
Les moshavim actuels sont regroupés dans plusieurs fédérations, généralement liées aux courants idéologiques qui les ont créés : sionistes socialistes, sionistes religieux, etc. Les fédérations contrôlent elles-mêmes des entreprises coopératives mises au service des moshavim membres.
Il y a deux messages derrière mon coup de froid… Le premier est que je dois faire attention à mon attitude pour éviter que les gens peuvent penser que je les prends pour des cons. Même si sur le plan du développement personnel, la spiritualité et la thérapie je me sens chez moi et vraiment à l’aise… et que je peux être parfois dur avec ceux que j’accompagne, ça ne veut pas dire que l’incompréhension ou l’incapacité des autres me donne ce jugement sur eux.
Le deuxième est que cette information m’a vraiment touché. Prendre froid, un coup de froid, ça veut dire pour moi que le coeur de la personne est touché. En l’occurence, c’est moi qui à eu un coup de froid au coeur… une culpabilité qui m’a refroidi et maintenant mon corps crée de la chaleur en excès pour retrouver sa température normale…
Quoi qu’il en soit, ma vie est train de se mettre en mouvement. J’ai encore 4 matinées de cours et mon deuxième cycle d’hébreu se termine la semaine prochaine. Si je reste dans le coin, j’entamerais un troisième, mais… ce n’est pas sûr ! Le temps passe vite… encore 7 semaines avant un départ obligatoire. J’ai donc commencé à réagir sur des annonces et une des profs m’aide aussi. Hier soir, j’ai parlé à quelqu’un d’un moshav au Galiléa et il semble avoir besoin de quelqu’un pour l’aider dans une sorte de pépinière. A suivre…
Je nous souhaite une délicieuse journée de plus… ∞❤️∞
Aujourd’hui c’est le nouvel an des arbres en Israël… Tu B’Shvat…
Petit coucou Michael….je ne réagis pas souvent à tes articles….mais je les lis ! Aujourd’hui juste une question que je me pose bien sûr aussi à moi même : Que justifie le manque de douceur ? Bonne continuation à toi sur ce joli chemin qui est le tien…Amicalement.
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Bonne question Catherine… Bien évidemment, je ne peux pas parler pour toi… Mais pour moi, l’AMOUR peut prendre n’importe quelle forme… et ce n’est pas nécessairement la douceur… De ma fenêtre, une des malentendus existants justement, est de croire que l’AMOUR et douceur font partie de la même famille… Quand j’accompagne je sens fortement que je suis animé par quelque chose de plus grand et plus beau que moi… Il ne s’agit pas de ce que michael veut, mais ce que la VIE veut… Ensuite, je fais confiance… Je constate par contre, que mon état s’adapte en fonction des résistances conditionnées de ceux que j’ai en face… En plus, je ne me positionne pas comme thérapeute qui est là pour entendre encore et encore les mêmes histoires, mais comme un enseignant et coach en transformation vers l’AMOUR véritable… un alchimiste donc… Belle journée à toi…
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Merci pour cette longue réponse …que j apprécie même si elle suscite encore bien des interrogations chez-moi…surtout concernant « le positionnement » justement 😏
Mais mon intention n’étant pas de débattre…je garde tes remarques et les laisse au chaud du creuset de mon alchimie personnelle !!
Belle journée ☀️💖
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Je comprends… et je sais que mon positionnement peut être difficile à comprendre… puisque je fonctionne à ma manière selon mes critère et mon cadre de référence… Qui, avec mon libération progressive change encore et encore… Belle journée Cathérine… ∞❤️∞
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