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Michael Ă Modi’in, IsraĂ«l đźđ±Â
Depuis que j’ai quittĂ© Facebook en juin 2016, ma qualitĂ© de vie a augmentĂ© de maniĂšre significative. J’avais presque atteint le maximum d’amis, 5000 il me semble, et je connaissais quasiment tous le monde. Si je suis parti c’Ă©tait pour trois raisons bien prĂ©cises. D’abord, j’Ă©tais systĂ©matiquement confrontĂ© aux personnes de mon passĂ©, ce qui pouvait ĂȘtre parfois douloureux pour la personne sensible que je suis. Ensuite, je recevais beaucoup de messages et ça me prenait beaucoup de temps pour y rĂ©pondre. J’avais surtout remarquĂ© qu’ils Ă©taient souvent assez superficiels, mais qu’il fallait bien rester poli. Puis, pour finir, je me rendais compte que j’avais créé une sorte d’addiction Ă ce rĂ©seau.
Le fait qu’au fur et Ă mesure ça devenait un peu « Big Brother » ne m’a jamais vraiment dĂ©rangĂ©. Je n’ai rien Ă cacher et aucun secret… mĂȘme par rapport aux choses dont je ne suis pas particuliĂšrement fier. Il fallait un peu de temps pour me sevrer et perdre l’habitude de sortir mon tĂ©lĂ©phone Ă tout bout de champs pour vĂ©rifier oĂč j’en Ă©tais. Je vois aussi clairement comment ce rĂ©seau, et la prioritĂ© qu’il prenait dans la vie des gens, avait vraiment une influence destructrice pour les relations amicaux et surtout pour les couples.Â
J’avais dĂ©jĂ remarquĂ© que ces messages qui arrivaient sans cesse m’empĂȘchaient d’ĂȘtre 100% prĂ©sent pour ma partenaire. Je ne me sentais pas Ă l’aise avec ça. Avec le temps, ça me touchait de plus en plus quand je voyais l’attention d’un interlocuteur disparaitre Ă chaque sonnerie de son tĂ©lĂ©phone. Depuis 7 ou 8 ans, je m’interdis de solliciter mon tĂ©lĂ©phone quand je suis en compagnie. Les 5 derniĂšres annĂ©es, depuis que j’ai quittĂ© Facebook, il est carrĂ©ment sur silencieux.  Bien Ă©videmment, tout cela faisait pour moi partie du processus du retour Ă la Maison IntĂ©rieure.
Quand je savais que j’allais retourner dans mon pays de naissance, j’ai rĂ©-ouvert un compte. A ce moment-lĂ Facebook reprĂ©sentait tout simplement un annuaire gigantesque oĂč je pouvais trouver n’importe qui. Pourtant, je ne me sentais pas Ă l’aise et pendant les 3 mois que j’y Ă©tais j’ai failli Ă plusieurs reprises supprimer mon compte. Quand, une fois arrivĂ© en IsraĂ«l, j’ai vu que mes anciens rĂ©flexes revenaient et que par ennuie je recommençais Ă Â naviguer dans ce labyrinthe d’information inutile, je suis passĂ© Ă l’acte et j’ai supprimĂ© Ă nouveau mon compte.
Mais, jamais 2 sans 3 ! Il y a quelques semaines, il y avait quelques personnes qui insistaient sur l’importance de ce rĂ©seau pour trouver une chambre, des cours ou des loisirs. En plus, de temps en temps, je recevais des liens vidĂ©o pour lesquels il fallait avoir Facebook. Alors, j’ai prudemment essayĂ© encore une fois… mais mon compte n’a jamais vu le jour. Pour rester discret, j’ai mis mon nom en hĂ©breu et j’ai remplis le minimum obligatoire de mon profil. A peine une heure plus tard, les gestionnaires de Facebook ont dĂ©sactivĂ© mon compte pour des raisons qui m’Ă©chappent.
Pas moyen d’y entrer pour changer quoi que ce soit, ni de crĂ©er un nouveau profil. Bien sĂ»r que je le vis comme un signe. La Vie semble m’inviter Ă rester discret. Chaque publicitĂ© que j’ai besoin de faire est pour moi l’ego qui ne fait pas confiance Ă l’existence. Je suis persuadĂ© que si ce que je fais est « juste et bon »… des gens viendront par eux-mĂȘmes et ça marchera tout seul. Entre temps, je continuerai Ă changer et Ă bouger jusqu’au moment oĂč je me trouve enfin parfaitement au diapason avec la Vie.
Et maintenant, depuis une quinzaine de jours, je reçois des messages d’amis qui quittent WhatsApp. MĂȘme pendant mes cours d’hĂ©breu, mes camarades de classe parlaient d’un problĂšme liĂ© Ă l’application. Comme je ne suis pas les actualitĂ©s et que mon hĂ©breu est encore en phase intermĂ©diaire, je n’y comprenais rien. C’est hier que j’ai enfin captĂ© de quoi il s’agit, grĂące Ă la vidĂ©o que mon ex-partenaire, mais Amie pour toujours, m’a envoyĂ©. Je pense que cette vidĂ©o fait rapidement le tour parmi les francophones.
Comme j’utilise WhatsApp au quotidien et que je vais bouger bientĂŽt, j’ai anticipĂ© l’Ă©ventualitĂ© que l’application cessera d’ĂȘtre utilisĂ©e. Alors, j’ai pris un compte chez Telegram et Signal, oĂč la plupart des gens semblent aller, et j’ai rĂ©-ouvert des comptes chez Viber et Skype. Comme j’avais dĂ©jĂ deux comptes Skype inaccessibles, qui sont impossibles Ă rĂ©cupĂ©rer ou Ă supprimer, j’ai mis un lien direct, Ă droite de cette page, pour pouvoir se connecter au bon !
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Bon, ça m’a pris un peu de temps hier soir pour trouver comment prĂ©senter cela de maniĂšre simple et efficace. Je pense que j’ai rĂ©ussi et c’est bon lĂ . Je vais pouvoir tranquillement retourner Ă mes Ă©tudes d’hĂ©breu. Je fais de longues heures pendant mes journĂ©es, alternant Duolingo, A Cours d’HĂ©breu et mes cours Ă l’Ă©cole. Je garde les films pour la fin de la journĂ©e. Il n’y a pas d’Ă©cole aujourd’hui et je vais voir combien de temps je tiendrai devant mes professeurs virtuels.
ParallĂšlement, je fais tout pour rester calme et centrĂ©. Dans deux mois je dois partir d’ici et le temps passe trĂšs vite. J’espĂšre qu’une piste s’ouvrira par elle-mĂȘme et que la magie de la Vie s’opĂ©rera encore une fois. Sinon, j’ai mis dans mon agenda que je commence Ă chercher activement quand l’Ă©cole se terminera le 4 fĂ©vrier. Ăa me laissera par la suite 6 semaine pour trouver ma voie de passage…
Ecole par Zoom, Cours par « A Cours d’HĂ©breu »… puis Duolingo…Â
Je nous souhaite une autre dĂ©licieuse journĂ©e ââ€ïžâÂ
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ |
Uri Gitman |
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ, ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Mon Dieu, je voulais que tu saches |
ŚŚŚŚ Ś©ŚŚŚŚȘŚ ŚŚŚŚŚ ŚŚŚŚŚ |
Un rĂȘve que j’ai fait la nuit au lit |
ŚŚŚŚŚŚ ŚšŚŚŚȘŚ ŚŚŚŚ |
Et dans le rĂȘve j’ai vu un ange |
ŚŚ©ŚŚŚŚ ŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚŚš ŚŚ ŚŚ |
Le paradis est venu vers moi et me l’a dit |
ŚŚŚȘŚ ŚŚ©ŚŚŚŚ, ŚąŚŚšŚȘŚ Ś ŚŚŚŚŚ |
Je suis venu du ciel, j’ai traversĂ© des errances |
ŚŚ©ŚŚȘ ŚŚšŚŚȘ Ś©ŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚŚŚŚ |
Portez un salut de paix Ă tous les enfants |
ŚŚ©ŚŚȘ ŚŚšŚŚȘ Ś©ŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚŚŚŚ |
Portez un salut de paix Ă tous les enfants |
ŚŚŚ©ŚŚȘŚąŚŚšŚšŚȘŚ Ś ŚŚŚšŚȘŚ ŚŚŚŚŚ |
Et quand je me suis rĂ©veillĂ©, je me suis souvenu du rĂȘve |
ŚŚŚŠŚŚȘŚ ŚŚŚ€Ś© ŚŚąŚ Ś©ŚŚŚ |
Et je suis sorti chercher un peu de paix |
ŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚ Ś©ŚŚŚ |
Et il n’y avait pas d’ange et il n’y avait pas de paix |
ŚŚŚ ŚŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚ Ś ŚąŚ ŚŚŚŚŚ |
Il est parti depuis longtemps et moi avec le rĂȘve |
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ, ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Mon Dieu, je voulais que tu saches |
ŚŚŚŚ Ś©ŚŚŚŚȘŚ ŚŚŚŚŚ ŚŚŚŚŚ |
Un rĂȘve que j’ai fait la nuit au lit |
ŚŚŚŚŚŚ ŚšŚŚŚȘŚ ŚŚŚ |
Et dans le rĂȘve j’ai vu du sel |
ŚŚŚŠŚŚŚŚȘ ŚŚŚ ŚąŚŚ ŚŚŚŚš ŚŚ ŚŚ |
Des profondeurs de la mer, il s’est levĂ© et me l’a dit |
ŚŚŚȘŚ ŚŚ ŚŚŚŚ, ŚŚŚŠŚŚŚŚȘ ŚŚŚ |
Je viens de l’eau, des profondeurs de la mer |
ŚŚ©ŚŚȘ ŚŚšŚŚȘ Ś©ŚŚŚ ŚŚŚŚŚ ŚŚ ŚŚąŚŚŚ |
Pour porter un salut de paix aux enfants du monde entier |
ŚŚ©ŚŚȘ ŚŚšŚŚȘ Ś©ŚŚŚ ŚŚŚŚŚ ŚŚ ŚŚąŚŚŚ |
Pour porter un salut de paix aux enfants du monde entier |
ŚŚŚ©ŚŚȘŚąŚŚšŚšŚȘŚ Ś ŚŚŚšŚȘŚ ŚŚŚŚŚ |
Et quand je me suis rĂ©veillĂ©, je me suis souvenu du rĂȘve |
ŚŚŚŠŚŚȘŚ ŚŚŚ€Ś© ŚŚąŚ Ś©ŚŚŚ |
Et je suis sorti chercher un peu de paix |
ŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚŚ ŚŚŚ ŚŚŚ Ś©ŚŚŚ |
Et il n’y avait pas d’ange et il n’y avait pas de paix |
ŚŚŚ ŚŚȘ ŚŚŚ©ŚŚšŚ ŚŚ§Ś ŚŚŚ Ś ŚąŚ ŚŚŚŚŚ |
Il a pris l’Ă©vangile et moi avec le rĂȘve |
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ, ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Mon Dieu, je voulais que tu saches |
Ś©ŚŚŚŚŚ ŚŚŚ Ś Ś©ŚŚš ŚŚ ŚŚŚŚŚ |
Que ce rĂȘve reste une Ă©nigme pour moi |
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ, ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Mon Dieu, je voulais que tu saches |
ŚąŚ ŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Je voulais que tu saches mon rĂȘve |
ŚŚŚŚŚŚ Ś©ŚŚ, ŚšŚ§ ŚšŚŠŚŚȘŚ Ś©ŚȘŚŚą |
Mon Dieu, je voulais juste que tu saches |
Juste un ptit coucou
Au passage de la lecture de ton article …
Je rĂ©flĂ©chis depuis quelques temps a me dĂ©faire de ses rĂ©seaux sociaux qui m empĂȘchent d ĂȘtre d ĂȘtre autonome lĂ je ressens par tes Ă©crits que c est le moment je suis triste et en mĂȘme temps euphorique..NamastĂ©
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Bravo Florence… NamastĂ©… âșïž
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