Baffrancou à Limousis (11), France 

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Hier je suis allé avec Brian, l’Ecossais de Workaway qui travaille en échange du gîte et du couvert, dans un magasin de pièces automobiles à Carcassonne. En appelant ma liste de casse automobiles je suis tombé sur eux. Les autres n’avaient pas de Renault Express de 1986, alors que ce magasin pouvait obtenir deux portes conducteur d’occasion pour moi. Comme Brian a dirigé un grand garage pendant de nombreuses années, je l’ai emmené avec moi pour avoir son œil expert. 👀

Il fallait choisir parmi des photos pour les commander chez un fournisseur… et c’était très difficile, car malgré la mention « bon », les deux portes avaient l’air médiocres. J’ai finalement pris ce risque qui allait me coûter 90 euros en essayant de choisir le meilleur médiocre, sachant que je n’en trouverais peut-être pas ailleurs. En plus, Brian semble avoir l’expérience nécessaire pour démonter la porte actuelle et la remplacer pour la nouvelle acquisition… et il part déjà dans une semaine… snif. Je vais certainement pouvoir chercher la portière jeudi… 🛒

Sur la photo de gauche, de gauche à droite : Sandrine, Laële, Olivier, Brian et moi…

En chemin vers le magasin, j’ai réalisé que l’histoire de cette porte était toujours d’actualité, même après déjà deux articles à ce sujet… Un accident riche du 10 juin et La porte de la voiture du 20 juin. Il y a clairement quelque chose qui n’est pas encore compris ou intégré. Spontanément, j’ai commencé à jouer avec les mots dans ma tête pour voir si je pouvais trouver une expression au niveau du langage des oiseaux qui avait un lien avec mes défis du moment. Et, en effet… même s’il fallait que je force un petit peu… 😉

Une porte sert à s’ouvrir ou à se fermer. Le problème avec celle que j’avais trouvé était qu’elle avait des soudures mal faites qui l’empêchaient de se fermer correctement. Ensuite, il restait du jour en haut de la porte. De plus, la fenêtre, également une ouverture à part entière, était difficile à fermer. D’emblée, je dirais que la porte me communique symboliquement que j’ai du mal à fermer mes ouvertures. Qu’il est peut-être plus difficile de dire NON, et donc de « fermer ma porte », que je le pensais. 🚪

Des oeufs abandonnés et oubliés…

En jouant avec les mots, j’ai trouvé « RE NON EXPRÈS »… dire NON, encore une fois, délibérément. Ça rejoint la notion de bien fermer ma porte… avant de la rouvrir peut-être grand à nouveau. Ça fait des années que j’œuvre consciemment dans ce sens. Je pourrais croire que je régresse, mais je sais que ce n’est pas possible. Chaque fois que le phénomène réapparait dans mon miroir, je suis conscient que la Vie m’invite à aller encore un peu plus loin… un peu plus profond… 🙅‍♂️

Et c’est vrai, les miroirs me disent régulièrement que je dois respecter mon intégrité et ne plus dire de faux OUI pour plaire ou par peur de ne pas être apprécié. Je vois aussi que ces faux OUI peuvent par la suite créer une irritation qui montre que mon être intérieur n’aime pas la situation. Il est clair que plus je suis capable de dire de vrais NON, plus mes OUI seront également vrais. Le tout me rappelle que JE DOIS accueillir pleinement l’être singulier que je suis devenu, avec ses besoins, ses habitudes et ses rythmes hors normes. C’est quelque chose qui n’est pas simple du tout… car souvent je ne me reconnais même pas moi-même… 😏

Je vous souhaite une délicieuse journée, soirée ou nuit… où que vous soyez… ∞❤️∞

P.S. : Vous souvenez-vous pourquoi la police française avait choisi la Renault 4 comme voiture à l’époque ??? Sérieusement…

I say NO, NO, NO… 😉