Taillefer (09), France đ«đ·
Ma vie bouge, je le vois et je le sens. Elle est en mouvement, câest indĂ©niable. Ce nâest pas nĂ©cessairement visible en regardant grossiĂšrement mon quotidien. Non, câest sous-jacent, subtil et dans les petits dĂ©tails. Le profil dâune personne qui me sollicite par-ci, un ressenti par-lĂ , une petite synchronicitĂ©, la qualitĂ© de mes nuits, lâĂ©tat de santĂ© de mon corps, la facilitĂ© de me nourrir avec des liquides, ma paix intĂ©rieure⊠âïž
Il est importante pour moi que ma vie continue Ă bouger. Jâai un rĂȘve Ă accomplir, une petite ou grande famille Ă co-crĂ©er, une compagne Ăąme-soeur ou flamme Ă retrouver. Jâai encore du pain sur la planche. Mais ça ne veut pas dire que je doive courir Ă droite ou Ă gauche pour que les choses se passent. Peut-ĂȘtre que si, mais je pense quâil sâagit tout simplement de me changer de lâintĂ©rieur pour que mon extĂ©rieur ressemble Ă mon rĂȘve. Si je reconnais ce que je vis dĂ©jĂ comme parfait, mon rĂȘve est là ⊠đ
Ce qui est mon dĂ©fi le plus important en ce moment est de vivre seul et dâaimer ça. Jâai beaucoup vĂ©cu en couple et ĂȘtre seul a Ă©tĂ© un choix conscient pour apprendre Ă me suffire Ă moi-mĂȘme et ainsi ĂȘtre un meilleur partenaire dans une nouvelle relation. Pour trouver mes deux derniĂšres compagnes, jâai jouĂ© avec la loi dâattraction. Pas cette fois-ci ! MĂȘme si jâai rĂ©guliĂšrement des contacts avec des co-exploratrices, ça fait dĂ©jĂ 4 ans que je ne suis plus en couple et que je me trouve face Ă mon Soi. Je mesure ma progression intĂ©rieure au profil de celles qui viennent Ă ma rencontre de temps en temps. đ Â
RĂ©cemment, jâai commencĂ© Ă avoir une correspondance par mail et WhatsApp avec quelquâun. Ăa arrive de temps en temps quâune femme reconnaisse quelque chose en moi et cherche Ă se rapprocher. Cette fois-ci câĂ©tait presque parfait et lâĂ©lan Ă©tait rĂ©ciproque. Jamais quelquâun a su sâapprocher aussi prĂȘt et me toucher autant sans que je lâai vu. Car, Ă part une photo sur internet je ne la connaissais pas. Par contre, pour avoir une idĂ©e de moi, il y a 230 vidĂ©os et 750 articles accessibles Ă partir de mon blog. âïž
Une jolie histoire d’amour avec Nicolas Cage et Bridget Fonda (Netflix)
Jâai toujours pensĂ© que ça faciliterait les choses et que cela permettrait Ă ceux qui cherchent Ă me connaĂźtre de se faire une idĂ©e correcte de moi. Aujourdâhui je vois le revers de la mĂ©daille et les limitations que mon journal reprĂ©sente. Câest vrai, si quelquâun a vraiment envie de savoir qui je suis, câest possible, mais pour ça il faudrait quâil regarde toutes mes vidĂ©os, quâil lise toutes les pages de mon journal et quâil remplisse les vides en mâinterrogeant. Ouf⊠đ
Ce que je constate c’est que la plupart des gens se forgent une opinion de moi Ă partir de juste quelques textes et/ou quelques vidĂ©os. Certains arrivent Ă voir une partie de qui je suis vraiment, et dans ce cas je peux me sentir touchĂ©. Mais, malgrĂ© tout je vois rapidement un mur qui se dresse entre la personne et moi, juste Ă cause de lâimage quâelle fige de moi Ă partir de quelques partages publiĂ©s. Les gens prĂ©tendent savoir trop rapidement Ă mon goĂ»t qui je suis, oĂč jâen suis, comment je suis⊠et mĂȘme ce que je peux penser ou avoir comme intentions. Jusque lĂ , ça ne mâa pas trop dĂ©rangĂ©. Mais, cette fois-ci oui⊠Car jâai vu le terrain dâun lien auquel je tenais se miner sans que je puisse y faire quoi que ce soitâŠđ€
Dans lâĂ©change, ça se prĂ©sente gĂ©nĂ©ralement tout simplement Ă travers des constats que quelquâun fait de moi sans y ĂȘtre invitĂ©. Les gens se permettent de me dire comment il me voient sans se rendre compte que cela peut ĂȘtre intrusif, que ça pourrait mâagresser, mais surtout que cela pourrait me paraĂźtre complĂštement faux et Ă cĂŽtĂ© de la plaque. La plupart du temps, les gens ne se rendent mĂȘme pas compte de leur intrusion. Câest devenu tellement coutumier. Pourtant, pour moi câest clairement la source de chaque problĂšme relationnel. LĂ , jâĂ©tais fier de moi, car je ne me suis senti ni mal, ni en danger. Je nâai juste pas su comment arrĂȘter le flot de mots imbibĂ© de projections, de transferts et, du coup, des pressions. đ€Ș
Jâai vu quatre options… Ă part de se rencontrer et laisser parler directement lâĂ©nergie, qui se passe facilement des mots :
1 – Je me dĂ©fends et me justifie⊠et je me place Ă©nergĂ©tiquement au niveau dâun enfant face Ă sa mĂšre. Ce nâest pas ce que je cherche dans une relation, donc je ne lâai pas fait.
2 – Je contre-attaque⊠et je rĂšgle Ă travers mon Amie Ă mon tour mes comptes avec les femmes qui mâont blessĂ© et jâentretiens le triangle infernal en devenant bourreau. Pas question que je fasse cela. Jâai dĂ©passĂ© ce stade⊠et je respecte et aime les femmes trop pour ça.
3 – Je propose un jeu comme je le fais maintenant Ă chaque fois que quelquâun cherche Ă sâapprocher. Je dis que câest un jeu, mais câest plutĂŽt un accord pour ne pas empiĂ©ter sur le territoire de lâautre. Pour moi, câest le top, car ça permet une communication en toute sĂ©curité⊠Je lâai proposĂ©, mais en vain. Et ça arrive souvent. Beaucoup de gens semblent prĂ©fĂ©rer la simplicitĂ© du conflit au lieu de faire un petit effort ensemble.
4 – Je lĂąche prise et je mâĂ©loigne en laissant lâautre dans sa dignitĂ©. Câest ce que jâai fini par faire⊠A regret, jâavoue.
Un autre film Netflix qui m’a fait couler des larmes…Â
Seulement quand quelquâun me le demande, je me permets de dire ce que je pense de lui, de son attitude, de son comportement ou de sa situation. Pendant un certain temps, jâai senti parfois le besoin de dire ce que je pensais ou sentais. Quand ça mâarrivait, je demandais toujours la permission avant de parler de mon interlocuteur. Aujourdâhui, je suis enfin capable de laisser lâautre ĂȘtre qui et comme il veut et penser comme ça lui convient⊠je lâĂ©coute tout simplement en essayant de ne rien figer. Car ce quâil dit aujourdâhui peut ĂȘtre diffĂ©rent demain. đ
Dans le mĂȘme registre, je parle peu de moi quand je ne suis pas sollicitĂ©. JâĂ©cris dĂ©jĂ dans mon journal et câest beaucoup. Câest vrai quâaprĂšs beaucoup de temps seul, quand je parle Ă quelquâun de vive voix, je peux ĂȘtre une vraie pipelette. Mais, je parle de moi⊠pas de lâautre. Si je veux mieux le connaitre, je lui pose des questions. Et encore⊠câest rare. Jâessaie juste dâĂȘtre lĂ au bon moment quand il se sent prĂȘt Ă se dire. Si quelquâun a envie de sâexprimer, je suis lĂ , jâadore Ă©couter⊠surtout sâil sait parler de lui-mĂȘme. đ
Il est donc relativement facile de sâapprocher de moi. Il suffit de respecter mon territoire⊠et peut-ĂȘtre pour cela crĂ©er un petit accord entre amis au prĂ©alable. Ensuite jâai lâespace oĂč je peux me dĂ©finir moi-mĂȘme en toute sĂ©curitĂ© au lieu de me laisser dĂ©finir dâemblĂ©e par lâautre⊠ce qui est bien Ă©videmment rĂ©ciproque. Il est facile de mieux me connaitre et de sâapprocher de moi. Il suffit de me poser des questions au lieu de parler Ă ma place ou de penser me connaitre Ă partir de ce que jâai pu dire ou Ă©crire dans le passĂ©. Car je change⊠je change vite⊠et je change tout le temps. đÂ
Ce qui mâarrive souvent, par contre, câest dâĂ©crire ici dans mon blog ce qui se passe pour moi, au lieu de le dire directement Ă une personne concernĂ©e. Ce nâest pas par lĂąchetĂ©, mais souvent tout simplement parce que la personne ne me demande pas de dĂ©velopper mes pensĂ©es. Comme je nâai nullement lâintention de faire la morale, ni dâenseigner ou de sauver qui que ce soit, je mâexprime dans mon journal intime. Ici câest un lieu sĂ»r, oĂč jâai crĂ©e la sĂ©curitĂ© dont jâai envie et besoin. Je partage tout ce que je veux⊠puis, je filtre les commentaires. Câest rare, mais ceux qui ne savent pas parler dâeux et qui ont besoin de juger ou qui ont une attitude condescendante ne voient jamais leur commentaire apparaitre. đ€š Â
Je vous souhaite une dĂ©licieuse journĂ©e â€ïžđ§Ąđđđđđ€Â
All you need is love AND understanding… đÂ
TrÚs intéressant !
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Merci Pearl… bienvenue âșïž
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Rien Ă dire rĂ©ellement sur moi…la vie me semble belle et je suis heureuse de voir qu elle l est pour toi aussi….je te suis depuis maintenant plus de deux ans…au dĂ©but par curiositĂ©, puis parce que j apprĂ©ciais ta façon authentique de t exprimer quand tu maĂźtrisais un sujet et quand tu sentais que quelque chose n allait pas. Ensuite le temps passant j ai eu l impression non pas de te connaĂźtre mais de te rencontrer chaque fois avec amitiĂ© et mĂȘme si le virtuel n est pas ce que je prĂ©fĂšre…c est devenu un peu addictif đ mais bon je ne fume pas, je ne bois pas, et je ne drague plus beaucoup..alors pourquoi se refuser ce petit plaisir. De plus, j adore les hommes (ok pas d ambiguĂŻtĂ©…j en aime un depuis 25 ans c est rĂ©ciproque et je connais mes limites đ) mais Ă©tant Ă©galement assez authentique et spontanĂ©e ce n est pas Ă©vident de pouvoir avoir une relation de cĆur Ă cĆur avec un autre homme sans les risques inhĂ©rents Ă la diffĂ©rence de sexe.
Donc je voulais juste tĂ©moigner de ma gratitude d avoir eu ce plaisir durant plus de deux ans….et que je ne peux que te souhaiter le meilleur….tu peaufines ton ĂȘtre depuis un bon bout de temps maintenant…. quel cadeau tu vas ĂȘtre pour une femme … sorciĂšre ? Chatwomen ? đ€AmitiĂ©s Michael
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Merci Ă toi aussi Catherine… mmm… âșïž
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« Ăcouter » j’ai un peu « appris » et pratiquĂ© grĂące aux bĂ©nĂ©volats dans les domaines de la mĂ©diation, de l’accompagnement des personnes en fin de vie et des appels tĂ©lĂ©phoniques aux personnes isolĂ©es. Mais « communiquer », j’ai conscience ne pas vraiment savoir faire. La « Communication Non Violente » pourrait ĂȘtre une aide : alors j’essaie de m’en inspirer en regardant notamment des vidĂ©os d’Isabelle Pavadoni. LĂ , ainsi aujourd’hui, je suis contente : en « m’expliquant » face Ă face avec une personne, notre relation a pu Ă©voluer alors que chacun aurait pu fuir l’autre aprĂšs un « mal-entendu » suivi d’une rĂ©action irrĂ©flĂ©chie et inappropriĂ©e. Bref, je ne dĂ©sespĂšre pas : je peux m’amĂ©liorer puisque j’ai conscience que cela ne peut que favoriser ma « communication-communion » avec l’autre. Et puis, si quelqu’un peut me conseiller d’autres vidĂ©os sur ce thĂšme, je suis « preneuse ». Merci!
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Merci pour ce partage Maryse… âșïž
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En Ă©tant connectĂ©e Ă cette Ă©nergie subtile du fĂ©minin, câest mon positionnement intĂ©rieur qui me met en posture dâaccueil de lâautre.
Il fut un temps, oĂč il mâĂ©tait difficile de laisser faire, de rester dans mon territoire sans intervenir dans celui de lâautreâŠ. envie de prouver quelque chose, envie dâavoir le dernier motâŠ
Jâai bien compris que cette posture ne me menait nulle part, sauf vers une forme de frustration mutuelle oĂč chacun se retrouve sur le territoire de lâautre, pour rĂ©pondre Ă de fausses attentes, sans aucune possibilitĂ© de se laisser ĂȘtre vraimentâŠ.
Moins de parole, plus dâĂ©coute, plus dâaccueil⊠En fait, je me rends compte que je simplifie ma relation et que je permets dans le mĂȘme temps Ă lâautre, dâĂȘtre pleinement lui-mĂȘme. Je me sens Ă ma juste place en Ă©tant dans cette posture sacrĂ©e : Accueillir et offrir ma prĂ©sence pour que la relation se vive et se construise, doucementâŠ
Etre dans une relation sacrĂ©e avec lâautre, câest ressentir au plus profond de moi que je nâai plus rien Ă prouver, ni rien Ă vouloir pour lâautre. Je ne veux plus avoir Ă le dĂ©finir pour le mettre dans une case, dans un carcan dĂ©finitif, dans un fonctionnement préétabli par des filtres qui enferment lâautre et qui mâenferment aussi, par la mĂȘme occasionâŠ
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Merci Aude… âșïž
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Je peux maĂźtriser ce que je dis et comment je le dis, je ne peux pas maĂźtriser ce qui se passe chez l’autre. J’ai dĂ©jĂ essayĂ© et je me suis Ă©puisĂ©e. Je dis un truc, et l’autre en face me sort un truc complĂštement Ă cĂŽtĂ© de la plaque. J’explique, et c’est encore pire. So what ? M’Ă©puiser ? Non je m’en vais.
Cela me rappelle une anecdote. Dans mon village, la mairie a créé une chicane Ă un endroit pour que 2 voitures ne se croisent pas et que les gens ralentissent. Un jour, j’arrive du cĂŽtĂ© oĂč je n’avais pas la prioritĂ©. Il n’y avait personne en face, donc je m’engage. Une fois bien engagĂ©e, une voiture en face est arrivĂ©e. D’habitude, çà se passe bien. Quand je suis engagĂ©e, les gens attendent que je passe. Et je fais de mĂȘme quand je suis Ă leur place. Mais lĂ je ne sais pas. Le conducteur a pris le parti d’accĂ©lĂ©rer et de me coincer dans la chicane tout en rentrant dans ma voiture. Et cela avec un rictus. Du coup, je n’ai pas bougĂ© d’un poil. Il est descendu de la voiture pour parler, je n’ai pas ouvert la vitre. Il a fait mine de regarder sa plaque d’immatriculation pour faire semblant qu’il y avait des dĂ©gĂąts, j’ai allongĂ© mon siĂšge. Je n’ai pas bougĂ© d’un poil, ni montrĂ© aucune agressivitĂ©. Mon fils Ă©tait mort de rire Ă l’arriĂšre. Au bout de 5 minutes, il y avait une dizaine de voitures rĂ©parties de part et d’autre. Il est rentrĂ© dans sa voiture, est montrĂ© sur le trottoir et est parti. J’ai reculĂ© sur l’autre trottoir et ai laissĂ© les voitures d’en face (prioritaires donc) passer. Franchement, qu’aurais-je eu Ă gagner en ouvrant la vitre et en partant sur un dialogue du style :
– vous n’aviez pas la prioritĂ©,
– quand je me suis engagiez, vous n’Ă©tiez pas lĂ …
etc etc etc
Le ton serait montĂ© et c’est tout. LĂ sans m’Ă©nerver, sans agresser, sans parler, je l’ai laissĂ© dans ses croyances, ses convictions d’avoir eu raison de toucher ma voiture. Ăvidemment il n’y avait aucun dĂ©gĂąt. C’Ă©tait juste une provocation. Qui n’a pas marchĂ©. Et nous avons continuĂ© chacun notre route.
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Merci pour l’anecdote, Brigitte… âșïž
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Un p’tit coucou de passage : je salue et j’honore ta quĂȘte de vĂ©ritĂ© de l’instant dans la relation, je sais combien il est rare de la toucher, de se livrer dans son essenciel et d’Ă©couter l’essenciel de l’autre, et que l’un et l’autre se rencontrent dans cette conscience d’ĂȘtre. Merci Ă toi de me rappeler Ă cette espĂ©rance.
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Oh oui, que c’est rare… Pourtant, pour moi c’est lĂ oĂč se trouve la grĂące, la vraie… Merci Catherine… đ
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Bonjour Michael,
Ne sachant pas qui je suis, je n’ai aucunement la prĂ©tention de savoir qui tu es !
Par contre, lorsque je te lis, ça fait naßtre en moi des réflexions que je te livres :
– qui te dit que ton dĂ©fi le plus important en ce moment est de vivre seul et d’aimer ça ?
– tu dis ne pas devoir « courir » Ă droite et Ă gauche pour rencontrer l’Ăąme sĆur. Vu d’ici je me dis quand mĂȘme que statistiquement il y a plus de chances que tu la rencontres en parcourant le monde qu’en restant dans ton camion au bout du monde, non ? Enfin, c’est juste mon avis.
– je trouve Ă©tonnant que tu dises que personne n’arrivera jamais Ă te connaĂźtre, savoir qui tu es, et que parallĂšlement tu rĂ©pĂštes souvent que toi, de ton cĂŽtĂ©, il te suffit de regarder une personne ou de parler 5′ avec elle pour tout savoir d’elle. Ce qui t’est donnĂ© Ă toi serait donc impossible pour les autres ?
– et, si je regarde ça avec les yeux du miroir, dont tu parles frĂ©quemment, que penser de cette attitude intrusive de l’autre qui fait des constats sur toi sans y ĂȘtre invitĂ© ?
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Je valide un peu tard… Ce commentaire avait atterri dans la boĂźte SPAM.
Je tâentends Eric… et comprends tes interrogations… merci de les avoir partagĂ© ici… âșïž
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